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stratégique de performance qui concerne tous les niveaux hiérarchiques de l’entreprise. Les outils de communication sont d’excellents vecteurs pour porter ces messages ; formation, rencontres de sensibilisation sur les « trois piliers de la RSE(1) » complètent le dispositif. Au quotidien, comme HandiEM, elle s’appuie sur des correspondants avec lesquels sont entretenus des échanges réguliers. « J’essaie de faire émerger des pratiques inspirantes car je crois beaucoup que les pratiques des uns enrichissent les expériences des autres ». Comme les adhérents au Leem ont des cultures et des tailles très différentes, cette fertilisation croisée s’avère d’autant plus bénéfique.
Nécessaire, mais pas suffisant
L’engagement des dirigeants dans la communication va-t-il influencer le résultat ? L’expérience des ateliers menés par Fanny Bellassen la pousse à affirmer sans ambigüité « que c’est un pré-requis ». Il ne faut cependant pas négliger qu’un bon dispositif doit aussi prévoir de faire remonter les informations vers le haut. Chez Novartis, le soutien du Président s’est avéré essentiel. Condition nécessaire mais pas toujours suffisante, complète Delphine Caroff. Le Leem réfléchit à la mise en place d’outils pour les comités de direction. « Je crois beaucoup que la politique RSE, pour être bien diffusée, doit être comprise par tous les métiers de l’entreprise ».
(1) Relations sociales, relations avec les parties prenantes, politiques environnementales.
Leem & HandiEM – Responsabilité Sociétale, Handicap et Emploi Comment passer de la parole aux actes ?
